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Une nouvelle activité pour l’OPCQ?

MISE À JOUR : En date du 27 juin 2019, l’OPCQ a obtenu pour ses membres l’autorisation d’exercer l’activité 3.6.7.. Les criminologues peuvent dès ce jour intégrer cette activité à leurs tâches quotidiennes.

Pour de plus amples informations, nous vous invitons à consulter cette nouvelle.


 

Lors de sa création en juillet 2015, l’Ordre des criminologues s’est vu attribuer par décret gouvernemental cinq activités professionnelles réservées.  Or, l’absence d’une activité importante pour la profession de criminologues et la protection du public a immédiatement été relevée par une large partie des membres qui œuvrent dans le secteur jeunesse.  Il s’agit de l’activité qui consiste à : « Déterminer le plan d’intervention pour une personne atteinte d’un trouble mental ou présentant  un risque suicidaire qui est hébergé dans une installation d’un établissement qui exploite un centre de réadaptation pour les jeunes en difficulté d’adaptation » (activité 3.6.7 du Guide explicatif du PL 21).

Très rapidement, l’octroi de cette activité est devenu un enjeu pour l’Ordre qui y a consenti depuis 2016 beaucoup d’énergie et de temps. Il a fallu monter un dossier et multiplier les représentations auprès de l’Office des professions (OPQ), des universités, des employeurs et des autres ordres professionnels concernés.

Finalement, l’Ordre a déposé officiellement sa demande à l’Office des professions en octobre dernier.  Il s’agit d’un argumentaire très convaincant, rigoureux qui démontre clairement que les criminologues possèdent les compétences, la formation et l’expertise requises pour exercer cette activité. Je vous invite à prendre connaissance de cette page que nous avons publié sur notre site.

Prochaines étapes?

L’analyse de notre demande se poursuit à l’OPQ et devra recevoir l’aval de diverses instances gouvernementales avant qu’un amendement législatif nous permette d’exercer cette activité.  Nous espérons que tout ce processus sera complété en 2018 mais nous n’avons malheureusement plus de contrôle sur l’échéancier. Nous pouvons cependant vous donner l’assurance que ce dossier demeure une priorité pour l’OPCQ et que nous poursuivrons nos représentations pour qu’il soit traité rapidement. Et bien sûr, nous vous informerons de tout nouveau développement.

 

 

Pierre Couture,

Directeur général et secrétaire

Ordre professionnel des criminologues du Québec

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