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Entrevue de Josée Rioux, présidente de l’OPCQ, au quotidien Le Devoir

Crédit photo : iStock

Le criminologue intervient au stade pré-sententiel, au moment de l’incarcération et lors de la remise en liberté.

L’Office des professions accueillait dans ses rangs un 46e ordre professionnel en juillet dernier, celui des criminologues, qui sont au nombre d’environ 2500 au Québec. Il aura fallu bien des tractations avant que ceux-ci aient accès à un ordre qui se consacre à la protection du public dans l’exercice de leur pratique et qui encadre la qualité des services qu’ils offrent.

Première présidente de l’Ordre professionnel des criminologues du Québec (OPCQ), Josée Rioux décrit le long processus ayant conduit à sa mise sur pied : « On en parlait depuis longtemps et, à la fin des années 1980, une association a vu le jour qui envisageait déjà l’existence d’un ordre professionnel. » Les conseils d’administration se sont succédé et ont poursuivi leurs efforts pour faire cheminer le dossier pendant plusieurs années : « Il a fallu faire preuve de beaucoup de volonté et d’amour du métier pour que, plus récemment, le CA se consacre sept jours sur sept à l’aboutissement de celui-ci en juillet dernier ; il faut beaucoup de travail pour créer un tel ordre. »

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